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Interrail Jour 8 | BUDA OU PEST ?

  • Photo du rédacteur: Raph & Anna
    Raph & Anna
  • 18 août 2017
  • 2 min de lecture


On se réveille à 7h45, ravies de partir pour notre troisième destination : Budapest. 09h53, nous montons dans un train bondé, ce qui nous oblige à nous asseoir dans le wagon restaurant ‒ et de commander un jus de pomme pétillant qui aura été notre plus grosse dépense bratislave. #schlag Campagnes slovaques et hongroises rythment notre trajet jusqu’à Budapest.


Vue des quais, la gare de Budapest-Keleti (Gare de l’Est rpz) n’est pas très accueillante mais dehors, c’est autre chose : un immense bâtiment blanc orné de statues de pierre surplombe fièrement toute la rue. Notre première impression est que cette ville est totalement différente des deux précédentes. On a enfin l’impression d’être dans une capitale. Valises en mains, on se met en route (enfin, à pied) pour rejoindre notre couchsurfing, et quelques pas seulement nous plongent dans une chaleur étouffante. Avec 35° au compteur, on découvre l’été des pays de l’Est.


Couchsurfing, 2nd round


Munie de notre fidèle carte routière (#oldschool), on se rend non sans peine jusqu’à l’adresse de notre couchsurfer… pour se rendre compte après 30 minutes de marche sous un soleil de plomb que nous nous sommes trompées de rue à quelques lettres près. Epuisées et ayant quelques heures devant nous, on s’installe dans un parc public pour se rafraîchir un peu avant de repartir à l’aventure.



C’est devant la porte de leur immeuble qu’on rencontre nos hôtes : un équatorien et deux indiens vivent en colocation dans un grand appartement au dernier étage. Ils nous accueillent très chaleureusement et nous font tout de suite nous sentir à l’aise et des leurs. En quelques minutes, on oublie notre malheureuse première expérience de couchsurfing. Comme quoi, every cloud has a silver lining ! Cette première approche avec nos hôtes de Budapest nous donne vraiment le sourire et répond totalement à nos espérances du couchsurfing. L’anglais, l’espagnol, le français et même le perse cohabitent dans un salon animé et nous avons d’autant plus hâte de vivre les trois jours à venir.


Les nuits hongroises



Pour bien débuter ce petit séjour, on est entraînées dans la folie festive des nuits hongroises. Ici, c’est la fête tous les jours et il y a de quoi faire ! On se laisse porter par l’ambiance et la bonne humeur du groupe jusqu’à un rooftop à 360° depuis lequel on peut admirer le coucher de soleil sur la ville et le Danube. Puis, c’est dans un grand parc de Budapest que l’on poursuit la soirée, véritable lieu de rendez-vous de toutes les générations. Guirlandes, Bose et rires parsèment le parc et ses jets d’eaux. Troisième étape de notre découverte des fêtes hongroises : Dob Utca, un passage couvert rempli de bars dansants, karaoké et autres clubs. Difficile de ne pas trouver dancefloor à son pied !

 

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